Duo Peirani / Parisien

 Vincent PEIRANI : Accordéon

Emile PARISIEN  : Saxophone soprano

Pour la tournée traditionnelle du festival, une évidence : proposer l’alliage de deux horizons musicaux mal domptés, de jeunes chevaux aux talents fous. Ils ont débarqué quasiment en même temps sur la scène jazz hexagonale, comme souvent par effraction… Ils se sont rencontrés au coeur du dernier quartet de Daniel Humair… D’un côté le saxophone soprano enfiévré d’Emile Parisien, de l’autre l’accordéon devenu orchestre de l’immense Vincent Peirani qui enjambe musique classique contemporaine et jazz… Deux virtuoses «possédés», reliés par un fil incassable, repérés désormais internationalement. Au menu, valses, embardées et frénésie, Monk ou Schumann, les Balkans ou le bord de la Marne, et tout cela respire…

Emile Parisien et Vincent Peirani démontrent une complicité totale dans l’énoncé de leur jeu, unissons.. poursuites.. construction mélodique, qui a le parfum d’une valse musette qui serait passée au Conservatoire et en aurait pris de la graine..

Il faut les voir de près.. rivaliser amicalement de stop chorus, de petites phrases découpées au chalumeau, suspendues, dévoilant des émotions cachées. L’un génie du soprano, faisant corps avec son instrument dans un exercice de dompteur, l’autre s’imposant comme le futur très grand de l’accordéon, prompt à en faire exploser les codes, à s’affranchir de toutes contraintes.. et là-dessus ils sont tous les deux d’accord…

A consulter : www.vincent-peirani.com – www.emileparisienquartet.com

A écouter : Vincent Peirani, Thrill Box, ACT Music + Vision, 2013

   Emile Parisien Quartet, Chien Guêpe, Laborie Jazz, 2012

Pour écouter directement sur le site cliquez sur le titre suivant : Vincent Peirani – Balkanski cocek

Emile Parisien et Vincent Peirani démontrent une complicité totale dans l’énoncé de leur jeu, unissons, poursuites, construction mélodique, qui a le parfum d’une valse musette qui serait passée au Conservatoire et en aurait pris de la graine.

Il faut les voir de près, rivaliser amicalement de stop chorus, de petites phrases découpées au chalumeau, suspendues, dévoilant des émotions cachées. L’un génie du soprano, faisant corps avec son instrument dans un exercice de dompteur, l’autre s’imposant comme le futur très grand de l’accordéon, prompt à en faire exploser les codes, à s’affranchir de toutes contraintes, et là-dessus ils sont tous les deux d’accord…

Pour en savoir plus sur le duo cliquez sur le lien suivant : Duo V. Peirani E. Parisien

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